L'Union européenne voulait un accord de libre-échange, qui apparaît aujourd'hui impossible, Boris Johnson ne pouvant pas se déjuger à ce point. Pour autant, même si les discussions d'octobre paraissent s'enliser, le "no deal" n'est peut-être pas inévitable. Et quand bien même on aboutirait à cette pire issue, il restera néanmoins à discuter, production par production, des quotas, des droits de douane, des règles sanitaires, etc. Et ce sont ces curseurs qui détermineront les réelles conséquences du Brexit pour les agriculteurs.
Pour lire l'article complet, cliquez sur le lien ci-dessous
