Avant la floraison

Le stress dû à la sécheresse avant la floraison peut avoir un impact sur la fertilité des inflorescences mâles (panicule) et femelles (épi). De la septième à la dixième feuille, les inflorescences prennent forme et se déterminent.

Pendant cette période, des contraintes telles que la compétition des mauvaises herbes ou les dommages causés par les herbicides, le froid et la chaleur, présentent un risque similaire et peuvent aggraver les conséquences négatives de la sécheresse lors de la floraison.

La pleine fécondation doit se produire lors de la floraison, même en cas de périodes précoces de sécheresse.

Les hybrides tolérants à la sécheresse auront leur panicule bien remplie de glumes fertiles et productives.

L'hybride tolérant à la sécheresse montrera moins de réductions du nombre de rangs de grains et du nombre total de grains que les autres.

Le développement précoce d'un système racinaire profond permet d'améliorer l'efficacité de l'absorption d'eau lors des phases ultérieures de sécheresse.

Les hybrides bien adaptés réagissent au stress précoce causé par la sécheresse en développant des racines plus profondes qui pénètrent en profondeur dans le sol. Cela est souvent lié à une réduction des racines proches de la surface et à une interaction avec la présence d'azote dans le sol.